Alan Lake, artiste associé

Photo © Michael Pinault 

Depuis l’hiver 2018,  Alan Lake est artiste associé au CCOV. Cette alliance est née de notre volonté d’accompagner et d’épauler des artistes prometteurs en leur apportant les ressources administratives et logistiques nécessaires à l’atteinte de leurs objectifs de création, production et diffusion.

CONTACT

Courriel: laankale@hotmail.com
Site web | Facebook
Agent :
Brent Belsher
brent@belshers.ca | Site web


L’effritement des parades

À travers la création de l’œuvre pluridisciplinaire L’effritement des parades, Alan Lake Factori(e) renoue avec son language chorégraphique au carrefour de la danse, du cinéma et des arts visuels. Dans ce nouvel opus, le chorégraphe donne naissance à des univers bruts et symbolistes dans lesquels l’humain, totalement imprégné par son environnement, évolue. Véritable plongé dans une atmosphère onirique, L’effritement des parades raconte un insaisissable récit symboliste fait d’imaginaires trafiqués, d’ambitions érodées, d’idéaux désenchantés, d’hégémonies sabotées où pourtant, quelque chose de lumineux et vrai, appelle et rappelle l’immanence de l’être dans sa puissante sobriété.

Crédit photo: Sébastien Durocher
Interprète:  Esther Rousseau-Morin

CRÉDITS

L’effritement des parades / 75 minutes sans entracte
Première mondiale : Le 15 octobre 2021 au Théâtre Hector Charland – L’Assomption, Québec, Canada
Création : Alan Lake (Artiste associé au Centre de Création O Vertigo – CCOV)
Chorégraphie : Alan Lake, avec la complicité des interprètes
Interprétation : Odile-Amélie Peters, Fabien Piché, David Rancourt, Esther Rousseau-Morin.
Conception musicale et musique sur scène : Antoine Berthiaume
Lumières : Chantal Labonté
Scénographie : Julie Lévesque et Alan Lake
Conseiller artistique : Olivier Normand Laplante
Direction production : André Houle – CCOV
Directeur technique : Samuel Boucher
Régisseur plateau : Claudio Castillo
Photos : Nicolas Padovani & Sébastien Durocher

Producteur exécutif : Centre de Création O Vertigo – CCOV (Montréal)
Une production d’Alan Lake Factori[e] en coproduction avec Danse Danse et Diffusion Hector Charland (L’Assomption)
Support en résidence de création : La Rotonde (Québec), Centre de Création O Vertigo – CCOV (Montréal)
Agents : Brent Belsher & Sophie Brassard  (Belsher Arts Management)
Alan Lake Factori[e] bénéficie du soutien du Conseil des arts du Canada, du Conseil des arts du Québec et de l’Entente de développement culturelle de la Ville de Québec.

 


PARADES

Cinq artistes sur scène
Présentation à La caserne Dalhousie par La Rotonde

Avec l’œuvre ParadesAlan Lake Factori(e) renoue avec le mode de création in situ qui nous avait donné la pièce Les Caveaux en 2016. Pour ce nouvel opus, quatre interprètes et un musicien investiront la Caserne Dalhousie. Ils habiteront, transformeront et magnifieront cet espace atypique, dans une exploration du mouvement et de la matière. 

Profondément imprégnés par leur environnement, ces humains s’engageront dans un insaisissable récit symboliste fait d’imaginaires trafiqués, d’ambitions érodées, d’idéaux désenchantés, d’hégémonies sabotées. La résultante : une danse qui — en sillonnant l’architectonie du lieu et en se mêlant aux éléments naturels — enchevêtre les mouvements jubilatoires liés aux fêtes païennes d’abondance et le sentiment d’urgence engendré par l’actualité de la crise environnementale. 

Après tout ce temps, en pause forcée, nous réalisons qu’au-delà de la futile parade des apparences, qui s’effondre lorsque l’adversité advient, se révèle une parade plus viscérale, une ode frénétique et sacrée célébrant le cycle de vie-mort-vie. Fusant de ces altérations, quelque chose de lumineux, de brut, de vrai, qui nous ramène à l’immanence de l’être dans sa puissante sobriété. 

Le moment de vous retrouver est enfin arrivé!

Crédit photo: Nicolas Padovani

Interprète: Odile-Amélie Peters

CRÉDITS

Création : Alan Lake (Artiste associé au Centre de Création O Vertigo – CCOV)

Chorégraphie: Alan Lake avec la complicité avec les interprètes

5 artistes sur scène
Interprétation: David Rancourt – fabien Piché – Esther Rousseau-Morin – Odile Amélie Peters / Musique: Antoine Berthiaume – musique en direct

Répétitrice : Jessica Serli
Lumière : Keven Dubois
Scénographie : Julie Lévesque
Direction technique : Patrick Paquet
Direction de production : André Houle

Producteur exécutif : Centre de Création O Vertigo – CCOV (Montréal)

Agents: Brent Belsher & Sophie Brassard  (Belsher Arts Management)

Alan Lake Factori[e] bénéficie du soutien du Conseil des arts du Canada, du Conseil des arts du Québec et de l’Entente de développement culturelle de la Ville de Québec.


LE CRI DES MÉDUSES

Dix artistes sur scène / Québec
Première mondiale, le 20 mars 2018 – Cinquième salle, Place des Arts

Après Là-bas, le lointain, Ravages et Les caveaux, Alan Lake poursuit son approche multidisciplinaire en faisant dialoguer son langage chorégraphique et sa sensibilité aux arts visuels dans une pièce pour 9 danseurs et un musicien «live». Inspiré par Le Radeau de la Méduse de Géricault et l’état d’urgence vécu par les naufragés dans la célèbre peinture. Le cri des méduses prend place dans un lieu inventé afin de nous propulser dans un onirisme terrifiant. Une danse physique à fleur de peau comme un rituel païen, bousculée par les images d’une scénographie puissante.  Le cri des méduses est un rêve éveillé, une danse de (sur)vie.

CALENDRIER Le cri des méduses | 2018

20 – 24 mars : Première mondiale
Montréal, Danse Danse – Cinquième salle, Place des Arts

4 et 5 avril : Québec, Grand Théâtre de Québec et Rotonde

25 avril : Victoriaville, Le carré 150

CRÉDITS

Création : Alan Lake
Chorégraphie : Alan Lake, avec la complicité des interprètes.
Interprétation : Kimberley de Jong, Jean-Benoit Labrecque, Louis-Elyan Martin, Fabien Piché, David Rancourt, Geneviève Robitaille, Esther Rousseau Morin, Josiane Bernier et Odile-Amélie Peters.
Musique en direct : Antoine Berthiaume
Lumières : Karine Gauthier
Répétition : Annie Gagnon (Montréal)
Scénographie : Marilène Bastien et Alan Lake
Costumes: Marilène Bastien
Direction de production : André Houle, Centre de Création O Vertigo – CCOV
Direction technique : Antoine Caron
Photos : Daniel Richard

Producteur délégué : Centre de Création O Vertigo – CCOV (Montréal)

Une production d’Alan Lake Factori(e) en coproduction avec Danse Danse et le Centre de Création O Vertigo – CCOV (Montréal).

Support en résidence de création : Place des Arts, La Rotonde, La Maison pour la danse de Québec et Danse à la Carte


GRATTER LA PÉNOMBRE

Cinq artistes sur scène / Québec
Première mondiale, le 7 février 2019 – Maison pour la danse, Québec

À travers Gratter la pénombre, Alan Lake poursuit l’épopée symboliste entamée avec Le cri des méduses. Dans une déclinaison de solos pensés pour ses collaborateurs de longue date, il s’avance non pas sur ses territoires intimes, mais sur ceux des interprètes. La pièce donne à voir une série de portraits révélant les strates en mouvement de leurs paysages intérieurs, et ce, dans une approche pluridisciplinaire qui conjugue danse, arts visuels et cinéma. Ces histoires et fantasmes se trouvent magnifiés par-delà l’expérience humaine, contribuant à l’enrichissement du langage et de la mythologie propre à Lake.

CRÉDITS

Création : Alan Lake
Chorégraphie : Alan Lake, avec la complicité des interprètes.
Interprétation : Arielle Warnke St-Pierre, Esther Rousseau-Morin, David Rancourt, Fabien Piché.
Musique en direct : Antoine Berthiaume
Lumières : Bruno Matte
Répétition : Annie Gagnon (Montréal)
Scénographie : Marilène Bastien et Alan Lake
Costumes: Marilène Bastien
Direction de production : André Houle, Centre de Création O Vertigo – CCOV
Direction technique : Antoine Caron
Photos : François Gamache

Producteur délégué : Centre de Création O Vertigo – CCOV (Montréal)

Une production d’Alan Lake Factori(e).

CALENDRIER Gratter la pénombre | 2019

7, 8, 9 et 13, 14, 15, 16 février : Première mondiale
Québec, La rotonde – Maison de la danse


BIOGRAPHIE

Alan Lake Factori[e] est une compagnie de danse contemporaine pluridisciplinaire créée et portée par le chorégraphe et réalisateur Alan Lake. Ce dernier développe une approche se situant au carrefour de la danse, du cinéma et des arts visuels. Ce croisement contribue directement à définir le langage unique de la compagnie en faisant naître des univers bruts et symbolistes dans lesquels l’humain, totalement imprégné par son environnement, évolue. Basée à Québec, Alan Lake Factori[e] est dédiée entièrement à la création et à la diffusion d’œuvres chorégraphiques, d’installations et de films de danse qui mettent en scène cette interconnexion entre le corps en mouvement, l’espace qu’il occupe, et le cycle de vie et de mort qui les sous-tend. Elle se consacre aussi à promouvoir la danse contemporaine et la recherche chorégraphique par le biais de spectacles, d’ateliers, de stages, de conférences et autres activités connexes. Profondément engagée dans la communauté de la danse à Québec, la compagnie mène des projets d’envergure qui contribuent à l’effervescence de cet art dans la capitale nationale et ailleurs.

Créée en 2007 Alan Lake Factori[e] a déjà à son actif plusieurs réalisations scéniques et cinématographiques. Toutes saluées par la critique et le public, ses œuvres jouissent d’une diffusion toujours de plus en plus importante. Ainsi, les projets Chaudière, déplacement et paysages (2009) et Là-bas le lointain (2012) font naître chacun un film et une œuvre scénique et sont diffusés notamment par La Rotonde à Québec. En 2015, le spectacle Ravages, présenté à Montréal et à Québec, pousse encore plus loin la démarche proposée dans les précédentes réalisations. Cette fois, deux films de danse émergent du projet : Jardins-Catastrophes (2014), qui est diffusé au Québec et dans divers pays, et Ravages (2015), un film plusieurs fois primé, qui parcours actuellement les festivals à travers le monde. En 2016 la création «in situ» Les Caveaux, pièce audacieuse, créée et présentée dans un vieil entrepôt désaffecté de Limoilou, ouvre la dernière saison de La Rotonde. Cette année, Alan Lake Factori[e] poursuit ses recherches en créant Le cri des méduses, un projet colossal qui se décline en un film de danse et une grande forme inspirés du célèbre tableau le Radeau de la Méduse de Théodore Géricault.