Maria Kefirova

Maria Kefirova | Mesauring distance

Description disponible seulement en anglais

Measuring distance sera présenté en mai 2020 à La Chapelle.

Measuring distance is a dance performance about shifting view points, changing points of contact, and moving points of reference; it is about allocentric and egocentric forces, about momentum and about the explosion of inertia.

It could be a tool for locating oneself.

Or a way that reverses far into close and closes into far.

The work experiments with different methods of measuring, unfolds various maps and offers divers perspectives over the same space.

It is a continuation of my ongoing reflection over the question:

  • How can I translate the concept of ‘distance’ into relation, knowledge and sensation?

Née en Bulgarie, Maria Kefirova s’établie à Montréal depuis 1992. Parallèlement à son travail d’interprète, elle développe sa propre pratique chorégraphique alliant danse, théâtre, performance et vidéo. Sa fascination pour la corrélation entre la réalité intérieure, la réalité extérieure et le corps comme surface entre les deux est au cœur de plusieurs de ses projets tel que The Nutcracker (2013), Corps. Relations (2010), Gold Meat (2010), Manifacturing Tears (2009). À travers sa pratique chorégraphique elle construit des espaces pour le mouvement de la pensée, l’énergie et l’attention du spectateur : ( Distance – 2016, The Paradise -2015 and Why are dogs successful on stage? – 2016). Elle a été invitée à présenter ces pièces aussi bien à Montréal qu’en Europe, notamment à Londres, Amsterdam, Arnhem, Torino, Bordeaux, Cork, Grenade et à Sofia (Bulgarie). Entre 2009 et 2012, Maria a fait partie de DasArts, l’unique laboratoire de recherche et innovation des arts de la scène à Amsterdam. Les collaborations avec d’autres artistes établis (Miguel Melgarez, Jean -François Laporte, Hanako Hoshimi- Caines, Katie Ward, Jonathan Parant, Paul Chambers and Sameena Sitbakhan) participent également sans conteste à développer son propos et sa démarche artistique.


Crédit photo: Manuel Navarrete López